Un homme atteint de la maladie de Parkinson a récemment testé sa première expérience avec du marihuana, dans le cadre d’un suivi médical visant à soulager ses symptômes moteurs et non-moteurs.
La méthode utilisée était précise : une seule goutte de la substance a été placée sous sa langue et frottée contre la joue, avec une mise en garde sur le dosage afin d’éviter une somnolence excessive : « Ne faites pas trop. Vous allez dormir tout l’après-midi ».
Les effets ont été immédiats et surprenants. Selon les témoins, l’homme s’est calmé rapidement, avec un tremblement des mains devenu parfaitement stable et une dyskinésie disparue. Ces résultats illustrent le potentiel significatif de la substance pour améliorer rapidement certains symptômes moteurs de la maladie.
Pendant l’expérience, l’homme a été invité à se détendre et observer les effets, sans tenter de communiquer : « Non, n’essayez pas de communiquer. Détendez-vous. Voyez ce qui se passe ». Cette approche, indiquée comme fiable, a contribué à une expérience positive et prometteuse.
À la fin de la session, une interaction légère a eu lieu concernant son appétit : « Avez-vous mangé le déjeuner ? Avez-vous faim maintenant ? », auquel il a répondu : « Drôle. Oui, je le suis », concluant cette expérience sur une note encourageante.
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