La terrible histoire de Jamel Debbouze

De nombreuses personnes se demandent quel est le secret derrière la main que Jamel Debbouze cache constamment. En 2018, l’humoriste avait révélé comment il s’est fait la blessure et surtout comment il avait réussi à surmonter l’accident qui lui a coûté sa main.

Tout se passe à Trappes, en banlieue parisienne, le 17 janvier 1990. Âge de 14 ans, Jamel Debbouze est victime d’un terrible accident.  Avec son ami, il a traversé les rails en pleine nuit sans regarder ni à gauche, ni à droite, , pour rejoindre un bus de l’autre côté du quai. « Je voulais juste gagner un peu de temps », expliquait-il à l’époque au média social Konbini.

Il sera fauché par un train. Il perd l’usage de son bras droit et perd son ami qui l’avait accompagné en vadrouille. Avec Konbini, l’humoriste a évoqué le choix qu’il avait fait pour surmonter l’épreuve. «La seule manière pour moi de passer outre cet accident, c’est de me dire: il n’existe pas. Il existe évidemment, c’est là. Je le mets dans ma poche. Et j’avance. Une manière de nier que j’étais freiné ou diminué, ou que je ne pouvais pas faire comme les autres », a-t-il partagé. Depuis, la superstar parle rarement de l’accident, encore moins de Jean-Paul. La dernière fois qu’il a abordé le sujet, c’était sur le plateau de C8, dans l’émission Au Tableau, diffusée le 7 février 2018. 

L’ami qui a perdu la vie lors de l’accident est Jean-Paul, fils du ségatier réunionnais Michel Admette et de sa femme Marlène. Les parents du camarade tué accuseront Jamel Debbouze de l’avoir poussé sous le train pour une histoire de blouson volé, et porteront plainte contre lui. Ce couple de Réunionnais n’admettra jamais que cette affaire se solde par un non-lieu. Pour les parents de Jean Paul, la responsabilité de l’humoriste dans la mort de leur fils est indéniable. Même si la justice a donné raison à Jamel Debbouze et  rendu un non-lieu en première instance comme en appel. Tous les recours en justice ensuite déposés par Michel Admette et son épouse ont été rejetés.